L'article est en français (dans notre RMR) mais l'acronyme est en anglais (diffuse idiopathic pulmonary neuroendocrine cell hyparplasia). Cette pathologie rare, feminine 4 fois sur 5, est parfois évoquée dans nos RCP ou DMD devant des nodules multiples qui grossissent lentement ou des résultats histologiques (biopsies ou pièces opératoires). Le point de départ est la fameuse cellule neuroendocrine (celle des cancers à "petites cellules" ou "grandes cellules"). Ces cellules qui semblent jouer un rôle important...

Cette étude rétrospective a repris 251 dossiers de cancer bronchiques non petites cellules complètement réséqués de stade III-pN2. 61 ont bénéficié d'une radiothérapie postopératoire 190 non. La survie sans progression, la survie globale et la récidive locale ont été comparées sur l'ensemble des malades puis par sous-groupe selon le statut EGFR et PDL1 (considéré comme positive si en immunohistochimie le pourcentage de cellules marquées était supérieur...